1. Swaziland

Buhle s’efforçait de changer la Constitution de Swaziland. Bien que cela soit difficile à atteindre, un objectif à long terme tel que celui-ci est encore pertinent pour le ‘Responsable de la Justice’, à condition que le député travail sur d’autres objectifs en même temps. Par exemple, Buhle a basé ses cours à l’Université de Swaziland sur ce qu’il avait appris en tant que Responsable de la Justice.
A travers ses cours, Buhle a soulevé une des plus grandes sensibilisations envers les problématiques pertinentes rencontrées parmi ses étudiants. Buhle a aussi offert une assistance légale à l’accusé et mis en place une clinique d’aide juridique. Il expliqua que cette approche été plus durable vis-à-vis des limitations dans les ateliers et la nécessité de se concentrer sur des cas réels.

2. Kenya

Lorsque l’on demanda à Joy de donner des conseils aux futurs députés des Responsables de la Justice, elle répondit : « Ils doivent avoir une passion pour ce sujet. Aimer aider les gens. Prendre chaque jour tel qu’il vient et vivre ici et maintenant. Croire en l’importance de faire une différence ».

3. Sri Lanka

La bureaucratie au Sri Lanka requiert beaucoup de patience lorsqu’il s’agit de l’exécution d’un projet. Il faut trois à quatre tentatives (un retour de plusieurs jours à la cour) en vue d’obtenir une copie certifiée conforme d’un dossier provenant de celle-ci.

Députée des Responsables de la Justice 2010, Harshi Perrera, n’a pas d’interaction directe avec le gouvernement central. Néanmoins, son interaction avec le gouvernement  découle de ses discussions avec les responsables de la prison. Certains membres du personnel de la prison l’aide à trouver les personnes appropriés à qui donner de l’aide juridique. De cette façon, elle parvient à poursuivre son projet dans les délais imposés.
Modifié le: samedi 17 juin 2017, 20:09